Bien sûr, la beauté échappe au discours. Ce qui a été dit, le discours le modifie, au moins il en déplace l’assise. La beauté elle-même ne sait rien d’où elle « est », pas plus qu’elle ne peut accepter près d’elle une autre beauté. Extrait « Nachrichten vom Weltenende » (Nouvelles de la fin du Monde), Günther Roeder, manuscrit inédit, Düsseldorf/Sablet 2015 (page7), Traduction: Hubert GALLE